Sujet : Chauffage filament ... Nouveau | De Jean-René Le 08-04-2006 à 07:23 sta |
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Bonjour,
Quelques infos complémentaires sur ce sujet déjà abordé dans une autre discussion ...
1) Filament tungstène pur :
La température de fonctionnement est de 2500 °K (blanc éblouissant); le point de fusion étant de 2700 °K, la marge de sécurité est faible, d'où l'utilisation obligatoire d'un rhéostat.
2) Filament tungstène / thorium :
Mis au point par Langmuir en 1923.
La température de fonctionnement est de 1900 °K (jaune clair); la durée de vie et le pouvoir émissif sont nettement supérieurs.
3) Filament nickel / oxydes de terres rares :
Mis au point par Wehnelt.
Le filament ne sert que de support à la couche émissive et sa composition peut être complexe :
Nickel 96.1 %
Aluminium 1.9 %
Uranium 1.0 %
Tungstène 1.0 %
Fonctionnement à une température de 1300 / 1500 °K (rouge sombre).
Ensuite, on est passé au chauffage indirect et c'est une autre histoire !
Infos relevées dans "Radio-constructeur" juil-août 1949 "Etude pratique du tube électronique".
Jean-René
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Sujet : Chauffage filament ... Nouveau | De Jacques (webmestre) Le 08-04-2006 à 08:21 sta |
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Auquel cas la dernière valeur est relativement différente de celle donnée dans le bouquin de Adam. Il y a concordance sur les 2 premières.
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Sujet : Chauffage filament ... Nouveau | De JC Négret Le 08-04-2006 à 12:43 cms |
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A moins que le bouqin de Adam (que je n'ai pas) donne les températures en degrés Celsius...
L'écart étant de 273,16° entre Celsius et Kelvin.
JC
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Sujet : Chauffage filament ... Nouveau | De Jacques (webmestre) Le 08-04-2006 à 12:54 sta |
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Tsss Tsss. S'ils donnent autant pour l'un que pour l'autre les valeurs en Celsius ou Kelvin, ils sont au moins sur une unité constante pour toutes les valeurs, sinon rien n'est comparable.
Et puis Adam donne 800 et RC entre 1300 et 1500, plus que l'offset Celsius-Kelvin.
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Sujet : Chauffage filament ... Nouveau | De Jean-René Le 10-04-2006 à 07:30 sta |
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Bonjour,
Petite erreur de ma part ... 1300°K correspond effectivement à la température de formation de la couche émissive lors de la fabrication du tube et non à la température de fonctionnement.
Jean-René
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